25 ans, Electrical and Firmware Engineer

Juste un petit post, après de nombreuses années, pour dire que je me retrouve maintenant en Australie a construire un défibrillateur médical.

Du coup, ma vie náura ete rien de militaire, rien cote aviation, mais pas mal cote ingénierie et médical, et puis c’est pas si mal comme ça 🙂 Au moins on a pas beaucoup de cas de COVID ici, et la plage est tout aussi bien que la montagne ou je suis ne.

PS: Vous aurez remarque la galère de ne plus avoir de clavier AZERTY et d’écrire français hahah

Après le Lycée Naval de Brest

Voici que j’apprends promptement que je ne serai pas au lycée Naval l’année prochaine… Eh oui ! Malgré mes bonnes notes, et malgré l’avis favorable du conseil de classe, je n’ai pas été admis à passer en deuxième année. Moi qui m’inquiétait au premier semestre de ne pas progresser (j’était alors 10ème sur 29) je suis arrivé jusqu’à être 8ème sur 29 au deuxième semestre. Voici donc que scolairement j’ai progressé ; je côté scalaire n’est donc assurément pas à critiquer. On peut alors se poser la question du comportement ; mais de ce côté là j’ai été parmi les plus sages de la prépa : je respectais toujours le règlement, avait continuellement une coupe de cheveux réglementaire, ne faisais pas partie de l’association de la flotte Gueperate (dont les gradés nous déconseillaient l’adhésion en première année), non non, je n’étais pas une personne au comportement tumultueux, ni rien du genre. J’étais presque l’inverse, souvent dans mon coin, à travailler et à chercher du calme, à manger à part sans me soucier de manger avec les autres… Oui, les autres n’aimaient pas manger avec moi ; dès que je m’assaillais, tout le monde faisait la tête, et je comprenais vite que je mettais mal à l’aise presque tous ceux qui m’entouraient. Pourquoi toute cette méfiance vis à vis e ma personne me direz vous ?? Tout simplement parce qu’au début de l’année j’avais eu l’idée d’écrire un livre sur l’expérience de la vie en prépa ; pour cela j’avais donc commencé un brouillon dans lequel j’avais pris l’habitude de marquer les événements marquants de la semaine. Parfois je demandais des précisions à mes camarades de chambres… Mais une certaine fois, après une soirée bien arrosée, j’avais voulu marqué le nom du premier au classement de la classe supérieur (la classe de MP), et pour cela, j’ai demandé à mon copiole l’orthographe de ce fameux nom : il l’a très TRES TRÈS mal pris ! Il s’est inquiéter du fait que je puisse publier un livre où figurerait les noms et les prénoms de réelles personnes de la prépa ; je n’en avait aucunement l’intention, mais Russe comme il était, il n’a aucunement compris la subtilité de l’affaire, et s’est mis à répondre des rumeurs de partout. Voici comment à commencé mon exclusion de la classe (avec le fait que je refusais de parler de ma vie passer ; ne voulant pas raconter ma passé tumultueux avec mes séjours à l’hôpital, mes problèmes de résistance à la frustration…). Je me suis donc retrouvé détesté par un grand nombre de personne. Il est alors devenu coutume de taire toute discussion lorsque je passais à proximité… de sorte que je ne puisse retirer aucune information de ce que j’entendais, et de sorte que je ne publie rien de compromettant. Ah… la paranoïa militaire… L’information est (ailleurs remonté jusqu’aux gradés, qui m’on alors convoqués pour avoir plus d’information, mais je ne pouvais rien dire de plus que j’écrivais un texte privé (étant au stade de brouillon) et que je ne le montrerais à personne. Comme personne ne voulais comprendre la situation, j’ai alors transformé le mot « brouillon »  en « journal intime ». En effet, je ne faisais qu’y écrire des choses privées sur ce que j’observais et que je vivais. Mais malgré cette redéfinition du problème, tout le monde restait pétrifié, et je restais exclus. Seules quelques personnes (les moins fermées d’esprit) m’acceptait dans leur entourage ; mais ne voulais pas rabaisser à leur tour leur popularité, je me suis abstenu de passer du temps avec eux. Je me suis donc résolu à rester tout simplement seul, et à me concentrer sur mes études : la prépa. Et ça n’a pas si mal fonctionné, j’ai gagné deux places au classement… Il y a cependant un deuxième événement : l’histoire du dictaphone. En début d’année, j’ai eu l’idée d’enregistrer certains de mes cours de français – lorsque je les trouvais particulièrement intéressant – afin de pouvoir les écouter de nouveau quand bon me semblerais… en m’endormant par exemple… J’avais donc utilisé mon dictaphone acheté deux ans auparavant pour enregistrer depuis ma trousse. Je n’avais pas demandé l’autorisation au professeur ne voulant faire avec ces enregistrement rien de plus que de simple écoutes privées. J’ai par contre une nouvelle fois la (mauvaise) idée de me confier à mes camarades de chambres ; moi qui pensais qu’il allait s’installer une complicité dans l’internat, encore plus que l’on était dans la même chambre, et encore plus qu’il régnait la rumeur du complicité (cohésion) militaire. J’ai donc dis à mes camarades que j’enregistrais certains cours ; pour le coup, il n’ont d’abord pas été choqué. Il ont bien évidement répondu l’information, et le voisin de la chambre d’à côté est même venu me demander l’enregistrement d’un cours pour pouvoir l’écouter lui aussi le soir en s’endormant ; légalement, c’est à ce moment là que j’aurais dû demandé l’autorisation au professeur.. mais je considérais cela comme une exception compréhensible (lui aussi assistait exactement aux même cours que moi… comme le reste de la classe…). Puis, troisième événement : ma question génence à un général, chef de jury de concours. Un jour, un monsieur très gradé (bien qu’habillé en civil) est venu inspecter notre cours de français… rien de plus normal, mais je n’avais pas bien compris l’intérêt de cette évaluation, et je voulais avoir son avis sur notre classe, en fine cours j’ai alors posé textuellement la question suivante : « Pourriez-vous nous en dire plus sur vôtre venue ici ? » Une question bien anodine… Comment j’en connais chacun des mots, car j’avais enregistrer la partie question avec l’inspecteur à la fin du cours (la trouvant interessante…). Tout le monde, en entendant ma question, s’est alors mis à rigoler, je n’ai pas compris… je n’avais rien fais de plus que de m’exprimer correctement dans un langage adapté ; j’avais conscience du fait qu’il fallait s’adresser avec droiture à une personne de cette trempe ; d’où le sérieux de ma question. J’ai bien sur encore fait une fois l’erreur de me confier à me camarades en leur faisant écouter le rire de la classe face à ma question… Finalement, toutes les infos que j’avais données à mes camarades étaient revenue jusqu’au oreilles des gradés ; l’information est même revenue jusqu’au oreilles du commandant du Centre d’Instruction Naval. C’est donc pourquoi, quelques jours après le passage de l’inspecteur, j’ai été convoqué par l’infirmerie pour une évaluation psychologique. Les questions ont été des plus banales : Te drogues tu ? As tu déjà fais des tentatives de suicides ? Et j’en passe… Je me souviens d’une question qui m’a particulièrement marqué : une question me demandant le métier de mes parents. Déjà que l’information figurais déjà dans mon dossier (car je l’avais déjà fournie), je n’appréciais pas qu’on fouille une nouvelle fois dans la vie de ma famille, j’ai donc simplement répondu que la question était d’ordre privé et ne regardait que mes parents ; le médecin présent m’a immédiatement menacé, en entendant ma réponse, de me mettre une inaptitude militaire m’empêchant toute carrière dans l’armée. J’ai alors compris que l’entretien n’avais rien de réel, et qu’il s’agissait simplement de me « mettre la pression » pour me faire comprendre, d’une manière que je pensais du siècle passé, qu’il ne fallait pas déranger les gens plus gradés que sois même. En l’occurrence, je n’étais qu’un simple civil (étudiant des lycées de la défense), mais pourtant, on me traitant comme un homme du rang à qui on cherche à faire peur pour lui faire comprendre qu’il ne faut pas répondre quand un gradé nous parle. L’entretien tournant alors en une scène de théâtre, je le prenais de moins en moins au sérieux ; je pensais de plus en plus que l’armée était une secte, et qu’il n’était pas si intéressant que cela d’y entrer… L’interview s’est finalement fini, et je suis sortie avec une dernière remue du médecin : « Au revoir, je suis sûr qu’on se reverra…! ». Non je n’ai pas enregistrer cette entretient, et pourtant j’aurais aimé.. tellement il était stupide… C’est finalement en fin d’année que tout m’en retombé sur la tête :  le lendemain du conseil de classe (où les professeurs (tous) émettaient un avis favorable pour mon passage dans la classe supérieure), j’ai été convoqué chez le commandant du CIN (centre d’instruction naval). Étaient présents, le commandant (assis à son bureau, face à moi, les yeux d’un bleu hypnotisant), le proviseur (débout à ma droite, à côté du bureau du commandant), et le major de la compagnie (debout à ma gauche). Je me retrouvais donc face aux trois personnes représentant les plus hautes autorité disponibles… quel honneur… ! L’information de mon renvoie ne fut que progressive : il n’y eu aucune discussion, aucune délibération entre les trois entité, non, le commandant laissa couler au cours d’une phrase, le fait que je ne serais pas là en septembre. Relevant avec étonnement cette toute nouvelle information, je lui demanda de répéter, et jouant bien son jeu de personne assurée dans son choix passé, le commandant se mis à me répéter que je ne serais pas là en septembre. Dans mon esprit, toute envie de rester dans ce lycée militaire avait disparu : je m’étais enfin résolu à comprendre que le monde militaire était un monde bien trop fermé d’esprit, bien trop droit, bien trop… rempli de pression inutile, de nécessité de piston pour monter en grades… en j’en passe… J’en ai discuter avec d’anciens militaires, et étonnement (ou non) beaucoup étaient de mon avis… jusqu’à des vrai anciens de 75 ans. C’est donc dans l’inquiétude de savoir où je serais pris l’année suivante que j’ai fait mes affaires ; petit bonus : personne ne semble me réclamer un quelconque argent pour ma scolarité… étrange, et même si c’est le cas, le sais pertinemment qu’étant donné la situation de renvoie, il me suffirait de faire appel pour gagner gains de cause. Puis, après quelques semaines, et quelques dossier déposés dans diverses prépa, j’ai eu le bonheur d’apprendre mon admission dans un prépa mieux classé de 50 places sur le classement des prépa de france : le passe de la 60ème place (le lycée Naval), à la 10ème place… Merci à mes professeurs pour leur lettre de recommandation ;). Me voilà donc libéré du monde militaire !! Enfin ! Je me dis que beaucoup de militaire doivent avoir le même rêve, mais que certains n’osent pas se l’avouer… Certains de la prépa m’ont d’ailleurs dit chanceux en apprenant mon renvoie, et non pas pour l’ambiance de classe, ou pour la difficulté de la prépa, mais tout simplement pour le monde militaire.

J’ose espérer que toute cette étrange pression militaire est du à l’absence de nécessité d’une grande armée, et j’ose espérer qu’en cas de besoin national, l’armée ouvrirai un peu plus grand ces portes, mais j’en doute. Et de toute manière, j’en reste dégouté, et ce n’est pas demain la veille que je ferai un pas vers un engagement…

Bonne soirée, nuit, aprem, matinée,… et bonne vie (d’opprimés ou non… à tous)… ;).

A+

 

PS : j’ai toujours l’entier espoir de faire pilote de ligne.

PPS : pour la petite anecdote, dès mon entrée dans le bureau du commandant, la première chose qu’il m’a demandée a été de sortir mon portable pour l’éteindre, craignant un enregistrement… (preuve de la paranoïa militaire), alors que j’aurais très bien pu prendre mon dictaphone dans ma poche… (preuve de la stupidité militaire).

PPPS : Vigipirate ne sert à rien… (mais ça n’empêche par le terrorisme d’être nul).

La prépa au Lycée Naval de Brest

Déjà, une petite photo.Voici où j'ai atteri : Le Lycée Naval de Brest Ça impose non ? Sinon que dire… Pour faire pilote (de ligne, de chasse, ou de je ne sais quoi d’autre) je me suis évidement dirigé vers une prépa ; on dit que c’est la voie royale, alors j’y suis allé, et j’espère y tenir, et bien y tenir ! Pour fair court : au premier semestre je suis arrivé 10ème sur sur 29. C’est pas mal, mais j’aurais pu faire mieux. Bon ok… on peut toujours faire mieux, mais là j’aurais du faire mieux. Alors on pourrait me dire de garder le niveau, et de garder ma place ; au début j’aurais pris ce conseil comme trop facile à suivre, et qu’il faudrait plutôt penser à monter plutôt que de ne pas descendre. Mais malheureusement, je sens le mauvais classement arrivé ; et puis tempi. En effet, il y a bien pire : les 17 derniers de la classe se sont vu conseillé de formuler des voeux sur APB (l’application poste bac, pour changer d’établissement l’an prochain). En effet, cette année nôtre classe n’est pas bonne, du moins en comparaison avec la classe de l’an passé qui était sans doute une excellente classe !

Cette année, il n’y a que une, voir deux personnes excellentes dans la classe. Oui je parle du premier et du deuxième de classe. Le premier, ses profs lui avaient conseillé d’aller à Henry 4, mais c’est lui qui n’a pas voulu. Il n’est pas à en douter qu’il a le niveau : il majore tous les DS et n’a quasiment que des 20 en math. OUI ! 20 en math en prépa. Mais bon, il faut dire que ce n’est pas comme au lycée, le barème est modulable, et selon le principe du concours, le premier se voit toujours attribué la note d 20. Sauf que là, c’est toujours le même qui a 20. Le chanceux… On peut se dire qu’il a des défauts ailleurs… Mais même si tout le monde essaie de lui en trouver, moi je trouve, en essayant d’être le plus objectif possible, qu’il n’a pas plus de défauts que les autres gens. Alors bien sur qu’il me fait penser à mon âme soeur, à la fille à qui je pense chaque soir en allant me coucher. Et je me dis que cette fille a de la chance d’être intelligente. Même que dès fois je m’amuse à m’imaginer, si cette dite fille et si ce dit premier de classe se retrouvaient à côté, qui serait le plus intelligent…? La plupart du temps j’arête vite mon petit jeux, et je me dit que la question ne se pose même pas, n’a pas à être posée, et ne se posera jamais ; et pourtant ça m’amuse de me rappeler que j’ai connu, que j’ai aimé (et aime encore) une personne d’une telle intelligence (même si elle même ne croit pas en elle…).

Sinon, l’ambiance est bonne, c’est un internat militaire : juste quelques gradés qui trainent dans les couloirs pour montrer qu’ils sont là, mais rien de bien méchant. Dès fois quand la poubelle n’a pas été vidée le matin, on la retrouve éparpillé un peu partout dans a chambre le soir… Mais on se s’en plaint pas… Enfin si… il y a tout un jeux, une sorte de combat entre les gradés et les élèves, qui renvoient la balle en offrant des cadeaux empoisonnés à noel ; mais rien de bien méchant.

Sinon, cette année, plain de math, et encore des maths, et beaucoup de math. On voit beaucoup de choses « abstraites » il parait. Et étonnamment, je me suis fait dire à plusieurs reprises par ma prof de math, que j’avais (et ai toujours) des qualités pour l’abstraction. Je ne sais pas où elle est allé cherché ce « compliment » qu’elle m’a sorti, mais personnellement je n’ai pas l’impression de comprendre plus que les autres. J’ai même l’impression d’avoir souvent du mal à suivre en classe. A ce propos, j’ai beaucoup de mal à écrire et à comprendre en même temps ; en cours je rêve continûment à un monde utopique où tous les cours sont distribués sur polycopiés, et ou ces derniers sont expliqués de manière \emph{personnel} aux élèves. Mais qu’est ce que je viens d’écrit… « emph »… ? Mais qu’est-ce ? C’est juste une manière très brusque d’embrayer sur le sujet suivant dont je voulais parler : le LaTeX.

Le LaTeX est un langage ou plutôt (d’après wikipédia) :

LaTeX, prononcé /la.tɛk/, est un langage et un système de composition de documents créé par Leslie Lamport en 19831,2. Plus exactement, il s’agit d’une collection de macro-commandes destinées à faciliter l’utilisation du « processeur de texte » TeX de Donald Knuth. Depuis 1993, il est maintenu par le LATEX3 Project team. La première version utilisée largement, appelée LaTeX2.09, est sortie en 1984. Une révision majeure, appelée LaTeX2ε, est sortie en 1991.

Eh oui, cette chose m’intéresse beaucoup. Pourquoi ? Parce que c’est ce qui est utilisé par tous les scientifiques pour faire des publications. Et je suis en train d’apprendre à m’en servir pour écrire mon rapport de TIPE. Ah oui ! Le TIPE !

Le TIPE, qui veut dire Travail d’Etude Personnel Encadré, est une sorte de chose étrange qui doit être réalisée au cours de l’année. On choisi un sujet en rapport avec le thème de l’année, on trouve une problématique, et on fait en oeuvre nos cerveaux pour parvenir à une réponse, par groupe de deux (ou de trois). Mon sujet c’est le traitement des images satellite, et ma problématique c’est :

Dans le cadre d’une chaine de traitement d’image satellitaire, comment obtenir une méthode de pan sharpening efficiente et comment évaluer la qualité des images fusionnées en étudiant la dynamique de celle-ci, selon l’utilisation de l’image.

Joli problématique trouvé par mon binôme avec sont frère, qui veulent à eux deux faire leur petit truc dans le coin sans vraiment se soudier de ce que j’e pense…

Pour expliquer les termes je met un peut de la suite du compte rendu :

Par « pan sharpening » nous entendons la méthode qui permet de fusionner une image en nuance de gris haute définition avec une image couleur basse définition. Wikipédia nous donne la dé􏰀nition suivante :

Pansharpening is a process of merging high-resolution panchromatic and lower resolu- tion multispectral imagery to create a single high-resolution color image.

Par étude de la dynamique de l’image nous entendons la détermination de critère objectifs permettant de quantifier la qualité de l’image (par exemple : la définition, le flou, la luminosité, etc…). Par utilisation de l’image nous pensons à deux utilisations particulières :

1. L’utilisation de l’image pour le grand publique. Dans ce cas l’image devrai avoir des couleurs vives avec un contraste élevé, avec une grande saturation, et de la lumière.

2. L’utilisation de l’image dans un cadre professionnel. Dans ce cas l’image devra représenter au mieux la réalité, tant sur le plan de la couleur que de la géométrie.

(Je viens de remarquer un truc de malade : le copier coller coller des lettes « fi » et « fl » sont remplacées par des carrés dans le blog wordpress… Hyper intéressant…). Je publierait surement sur ce blog le compte rendu une fois fini.

J’en étais à où..? Ah oui, la prépa… En tant que lycée militaire, il y a de nombreuses traditions « ancestrales ». J’aurrais plein d’anecdotes à raconter, mais le temps à parti que je m’était fixé pour écrire ce texte sur ce blogue commence à se rapprocher se son extrême prévu… Il est quand même 1h15… du matin !! Bon ok, j’ai dormi jusqu’a midi les deux derniers jours ; oui car aujourd’hui (enfin hier) on était Lundi, et Samedi j’ai eu DS, de math… La catastrophe… Je n’apprend plus vraiment bien mon cours car je commence à en avoir vraiment mar de ce mode d’apprentissage qui fait gober des résultats de cours et des méthodes à n’en plus finir. On me dirait assurément que les maths ne se résument absolument pas à du par coeur, mais soit je suis con, soit… Je ne sais pas… En tout cas, j’ai ai largement mar, et même quand j’essaie de travailler plus, mes efforts ne paient pas, et je ne me rapproche même pas de la moitié du niveaux de ceux de la t^te de la classe. Moi qui avait pensé, fut en temps, être un génie avec 145 de QI… Bon ok, apparemment j’ai effectivement 145 de QI (à part si ma mère m’a menti) mais ça ne me sert strictement à rien. Si on se dit que le savant dont j’ai la flemme d’aller chercher l’orthographe du nom a 165 de QI (encore une fois d’après ma mère). Alors je ne vois pas en quoi 145 est sensé être un nombre proche de 165. (Oui je parle du monsieur qui a dit que l’énergie était égale à la vitesse de la lumière dans le vide au carré multipliée par la masse de la chose dont on veut avoir l’énergie…).

Autrement, j’ai été major d’informatique. Ou du moins presque major ; en effet j’estime qu’il y a eu erreur sur les notation quand l’unique personne au dessus de moi est le deuxième de la classe au premier semestre À QUI JE DONNE TOUTES LES RÉPONSES EN TD ! Bon Ok, j’ai quand même 19 et quelques… mais bon… Et plus sérieusement, être major en info ne sert à rien, car les coefficient est très très faible comparé aux autres « grosses épreuves ». Il ne faut donc pas être handicapé par une note merdique en info, mais ça ne sert à rien d’avoir 20…

Autrement, la SI, un toute nouvelle matière… (Etant donné l’heure : 1h26, je vais essayé d’être rapide). Un nouvelle matière que certain ont déjà pratiquée… Oui, pour ceux qui ont un bac SI, et non as SVT comme moi, il ont un mini (et je dis bien « mini ») avantage. Ce n’est pas vraiment un avantage en connaissance, mais en habitude de l’esprit à penser en ingénieur… avoir l’esprit pratique… Il se trouve que j’ai cette qualité (d’esprit pratique) et au premier semestre j’ai donc fini troisième de la classe. Sinon en math, je devais être 15 ou 12 ème je ne sais plus, et en math 7ème. Comment je le disais, au classement général j’ai fini 10ème… Et pourtant j’aime bien la physique et l’électronique… D’ou ce que je disais, la prépa c’est le mal incarné, ça ne sert absolument pas à apprendre.

Non la prépa ne sert pas à apprendre, mais presque exclusivement à faire souffrir. Oui, et je le pense en effet : la prépa à d’après moi le but de faire souffrir les gens pour voir ceux qui résistent le mieux à la souffrance. Qui a inventé ce système ? La nature. Qui l’a découvert ? Darwin. alors après réflexion, si l’on veut apprendre, il ne faut pas aller en prépa, mais à la fac, et finir avec une thèse. Il n’y a qu’a savoir qu’un quelconque master sera mieux que deux ans (ou trois) de prépa. La prépa c’est « la merde ». Et je me suis donc promis une chose (en plus d’acheter une pelleteuse quand je serais grand) : de faire en sorte que les prépa tendent vers leur fin. Oui, comme un soldat qui raconte le front est plus véritable quand il a réellement été au front, et qu’il a rempli sa mission correctement, alors je vais faire en sorte de rester au front et de remplir ma mission avec exemple pour mieux pouvoir critiquer le système. Le tiens absolument à faire en sorte que les humains souffrent de moins en moins. Je ne veux être méchant avec personne, et je veux faire le bien. Je ne suis pas utopiste, et je ne suis pas de gauche, mais je suis (à mon humble avis) une des rares personnes réellement humaine sur cette terre. Et je vais donc oeuvrer pour faire du bien aux autres, car personne n’a de raison de souffrir. On a la chance d’avoir la « conscience » la plus « élevée » de tous les « animaux » que l’on connaisse, alors il faut s’en servir dans le bon sens et pour contraire une société ou l’on est bien. Il ne faut ps tant se prendre la tête… Tout partager… LOL quel idée… Tout être concurrent… MDR… Non, il faut juste prévoir et accepter l’arrivé et le pouvoir de la technologie. On est destiné (par toute logique que le métal est plus résistant que la cellulose) à faire avec le monde électronique et cybernétique. Que des films… Non. Il faut faire en sorte qu’une société où les valeurs ont changées naisse. Les humains d’aujourd’hui sont tous nuls, mais j’ai le grand espoir qu’avec la technologie le monde devienne plus facile, et qu’avec les temps, les instinct de survie disparaissent, que nous nous laissions bercer par le métal de la modernité, et que nous acception nôtre sort de devenir des handicapé soumis à la technologie. C’est déjà le cas, en partie… GPS et j’en passe… Et si tout disparait.. que faire… Et bah on craindra autant les supernova capable d’envoyer des rayons gamma sur terre détruisant les systèmes informatique qu’une météorite s’écriant sur terre nous privant de l’oxygène. Aujourd’hui nous avons besoin d’organe ; plus tard nous aurons de calm.

Tout ceci pour dire, qu’en laissant tout me monde dans sa voie, il est assurément possible de laisser l’humilité s’enrichir. Donnez moi un ordi et je ferai progresser le monde pour faire disparaitre les guerres et les besoins. Donner moi une prépa et je déprimerai en voyant à quoi nous sommes rabaissés de nous mesurer les uns les autres, et je finirais peut être par mourir de rage devant tout les processus académiques qui obligent les gens à penser d’une certaines manière. Laissez les gens libres d’apprendre, et arrêter de vouloir les faire recracher des savoirs. Toutes les personnes qui amassent du savoir, tout naturellement, par curiosité, va tout naturellement vouloir le faire partager aux autres, et c’est par ce processus que la société peut évoluer dans le bon sens et dans le bonheur le bien, la paix, et le calm. Pourquoi donc avoir mal ? C’est marrant ? Il faut souffrir ? Pour aller aux paradis…? Non, ce ne sont encore que des gènes qui ont été sélectionnés par des processus sociaux tels que les religions, mais il faut espérer encore une fois que la technologie pourra décrédibiliser les religions, et laisser les gens avec ces mauvais gènes s’éteindre, comme les dinosaures se sont éteint.

Pour en revenir à la prépa, et au jeux que j’accepte de jouer. Faire pilote, ça m’ai presque sorti de l’esprit. C’est cool, c’est même géniale ! Mais j’ai humilité de constater qu’avec ma myopie qui s’aggrave, mon role dans ce monde (et non je reparle pas de déterminisme) n’est assurément pas de piloter un avion. Me faire opérer ? NON ! je n’ai pas le gène pour… et bah je l’accepte… (Non je ne crois pas encore aux progrès suffisant dans le domaine de l’optique chirurgicale). Porter des lentilles ? Non. Il n’y a qu’a voir : en cours je me frotte les yeux, juste comme ça… et je me décolle une lentille… j’ai bien prix 2 minutes à me la retirer de l’oeil… Non pilote, même si j’aimerais vraiment, ce n’est pas pour moi. Je ne veux pas faire courir des risques à d’autres humains, des passagers… Je ne suis pas égoïste.

Reste alors la question de savoir quel méfié la vie voudra bien m’offrir…? Je n’en sais pas encore grand chose… Alors dans le doute he vise le savoir… et le thèse… le doctorat… Bien sur si le système actuel veut bien de moins … dans sa continuelle évaluation de l’individu… Des sujets de thèse…? On verra… Ingénieur… ? Bouarg..! Non. Pas assez de connaissance. Etre technicien (oui car un ingénieur c’est un technicien) dans un monde futur, pourquoi pas.. mais aujourd’hui il fait faire progresser le monde, et je ne peux pas me satisfaire de faire tourner le roue, il faut que j’en améliore le sens.

A+

Dans un monde meilleur…

Les mathématiques ce n’est pas facile, penser être intelligent mais ne pas l’être.

Me voilà en terminal. Me voilà triste. Je suis démoralisé par ma propre incompétence. Il peut être marrant (ou plutôt triste) de constater à quel point on peut se croire intelligent et doué en sciences en classe de seconde et se rendre compte de la réalité du contraire en classe de terminale.
Certains ont le cerveau fait pour penser avec logique et rigueur, alors que d’autres, dont moi, n’ont pas les idées claires et n’arrivent pas à réfléchir à cause de l’absence de la capacité à rassembler les idées.
Je suis au stade où j’admets que d’autres sont meilleurs que moi, y compris des personnes très proches, comme ma petite amie Julie.

J’ai peur qu’elle ne m’aime plus car au fond je ne suis que stupide, pas à son niveau, pas aussi intelligente qu’elle, et que je ne puisse pas discuter de choses intéressantes avec elle par cet triste fait.
Moi je l’aime tant !

Revalidation de mon BB (Brevet de Base)

La validite de mon brevet de base prenant fin d’ici moins de trois moi, il fallait que je le renouvelle, u plutôt que je le proroge. Or, n’ayant pas le nombre d’heure solo necessaire, j’ai du repasser un « pseudo » examen en vol. C’est donc hier (car j’écris en nocturne) que j’ai refait un petit vol de mise en jambe.
Le rendez vous est prévu pour 10h00 pour avoir fini à 12h00 locale, mais ayant une mère qui veut prendre des douches qui n’arrangent personne, je ne suis donc arrivé que 15 min en avance ;alors que j voulais arriver bien plus tôt pour préparer mon vol. J’ai donc été en retard pour le décollage, est donc l’aterissage et donc le repas. Avant le vol, j’ai donc tout bien fait sérieusement comme avant : j’ai fait le rapport de pesée sans oublier de demander le mois de mon chère instructeur FRECHOU, et sans oublier de prendre météo et notam. Puis j’ai regarder les anomalies avion sur l’ordi prévu a cet effet : avion cassé comme a son habitude, on comme à son habitude, on continue. Il se trouve que ce jour là le portail pour accéder au parking était en réparation, du fait de la volonté de mise à la norme des installations de l’aéroport de Chambéry. J’ai alliés du faire un effort de mémoire intense pour me souvenir du mot de passe du portail d’à côté qui trônait à 20 m de l’autre. Concrètement, les ouvriers étant présent et ayant remarqué que je n’était pas mal intentionné, ils m’ont laissé passer, comme si de rien etait, par le nouveau portail vert en construction. Puis, mon instructeur trouvant que je n’étais pas encore assez en retard a son goût, il me fit regonfler les roues de l’avion… puis nettoyer le parbrise… Alors c’est avec un train principal gonflé à 2,4 bar, une roulette de nez gonflé à 2 bar, un par brise propre et un ciel bleu clairsemé sur ma tete qui je fit le plein du Cessna 150, le F-BSIR, avant de mettre en route le moteur. Première erreur, laisser la radio allumé lors du démarrage : ça abime la radio à cause de l’instabilité électrique du courant du circuit de l’avion. Puis j’avais oublié de remettre le son de mon casque son le plus élevé (le bouton sur le casque), en même temps allez savoir pourquoi je l’avait mis sur le minimum… sûrement pour tenter de ne pas entendre ma mère me gueuler dessus un certain jour. Par miracle, ou chance, ou talent (que quais-je ?), j’ai réussi à démarrer du premier coup. C’est alors que la radio et le maniement de l’avion me revint instinctivement. Le vol se déroula donc. Il fut coloré par une mise en palier à 3000 pieds (ft), qui ne fut pas manqué, suivi par une joli check list de mise en palier, elle aussi non oubliée. Puis il me fut demandé de déterminer la vitesse de décrochage, alors je du, après avoir fait remarqué qu’il serai préférable d’attendre un peu car nous passion sur la montagne des monts, faire les vérifications extérieurs et machine avant d’entreprendre une approche du décollage jusqu’à retentissement de l’alarme de décrochage (qui retenti 10 nœuds avant d’atteindre la vitesse de décrochage de cet avion). Puis je du voler à 1,2 fois cette vitesse, puis je du décrocher, puis je du faire ce qui doit être fait quand il y a une panne de moteur, puis je du faire une remise de gaz, puis je du faire un virage, puis une mise en palier à 2700 fut, puis un virage à 60° d’inclinaison de chaque côté, puis une vertical terrain, puis un exercice d’encadrement, puis une panne au décollage, puis finalement un circuit basse hauteur avec simulation de panne de volet. Et c’est donc au moment de l’extinction du moteur que mon instructeur eu le regret de me dire que ça le faisait bien chier car maintenant il devait remplir de la paperasse : je venais donc de réussir le renouvellement de mon BB ! Tout content je parti retrouver ma maman qui m’attendait car il était 12h05. Je rempli donc tout mes papiers, et parti un direction du bureau de piste pour réclamer un tampon. Mais bien qu’il était alors 12h20 et que le bureau de piste devait fermer à 12h30, il n’y avait personne, je du alors confier mes documents à mon généreux instructeur pour qu’il passe au bureau de piste dés que possible. Il m’informa l’après midi même que l’affaire était réglé. Je pu alors partir vers midi et demi de l’aéroclub pour aller à Castorama chercher l’aerographe que je désirais depuis longtemps. Puis retourné chez moi, jeu à peine le temps de le tester avec seulement de l’eau que le conçue de la porte sonna pour annoncer que les mathématiques étaient de nouveau ici pour me faire chier et m’empêcher de rêver : mon prof de math particulier sonnait à la porte pour me donner deux heures de cours sur les limites de fonction, de suites, fonction dérivée… et tous les malheurs du monde cartésien.

Vacances avant le bac de français

Rooh et puis autant poster ce brouillon de 04/05/2013 :
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Me voilà de retour pour écrire et raconter ma vie, parce que je n’ai rien de mieux à faire. Présentement, ma petite amie m’embrasse quand j’écris ça et elle n’est as contente que je la repousse parce que j’écris, et elle me dis qu’elle va rester jusqu’à 3h00 du mat. parce qu’elle n’arrive pas à faire un exercice de math alors qu’il n’est seulement que 18h51, en fait je pense qu’elle veut simplement me faire comprendre qu’elle est motivée, qu’elle y arrivera et qu’il ne faut pas la plaindre. A part cette petite introduction désastreuse, [à elle a lancé son crayon parce qu’elle n’y arrive pas << En déduire ! Putain mais ça m’énerve ça veut rien dire !!! >> pourtant elle a eu de très très bonne note en math, et même en tout d’ailleurs :  18 de moyenne générale au premier semestre de première scientifique, et elle s’inquiète de ne pas être prise en prépa. BCPST] je dirais même plus que voilà maintenant la fin des vacances avec son lot de tristesse et de nostalgie, nan je rigole, en fait ya toujours de bons et des mauvais moment… Ma mère va beaucoup mieux, elle est sur la voie de la guérison, elle est toujours fatiguée mais va de mieux en mieux (elle n’a désormais plus de blastes et son chimérisme est à 100% : elle n’a plus aucune trace de ses anciennes cellules (elle avait un sorte de leucémie pour mémoire)). La première semaine des vacances s’est passé seul, chez moi, sans avoir vraiment grand chose à faire : je regardais la télé, je dormais, mangeais, m’ennuyai et déprimais en fait gravement quoi… 😉 mais maintenant c’est la deuxième semaine des vacances (on est vendredi) et le début a été mitigé, comme d’habitude… à ce demander la raison pour laquelle je pourrai écrire ceci alors que c’est si mitigé et normal… je me demande moi même, j’ai sans doute besoin d’écrire tout simplement [Mon amie cri victoire, elle pense avoir trouver] ou peut être parce que je voulais continuer ces écrits……. Mon « amie » vient de lire et n’aime pas cette formulation, je dirais désormais « amoureuse]. La semaine avait en fait plutôt bien commencé (j’ai en fait rejoint mon amoureuse le samedi dernier) à 10h20 chez son médecin généraliste pour lui tenir la main et qu’elle pense pas à l’atroce souffrance que doit être l’enfoncement d’une partie métallique froide à plusieurs centimètres sous la peau, c’est donc logiquement que j’ai revu le médecin en question qui était en fait un ami de ma mère qui était elle aussi médecin avant sa maladie… [mon amoureuse essaye de faire partie le chat de sa feuille d’exercice qu’il semble avoir loué]. Elle ne poussa aucun cri et resta très calme, sans doute car j’était là, à sa doite, lui tenant la main, pendant que le professionnenl executait son geste. Juste après coup elle di ne pas avoir mal du tout, mais bien sur je ne la cru pas… non mais franchement à qui ça fait pas mal de se faire planter un truc dans le bras ?… [Elle dit avoir trouvé…] Moi ça me fait mal à tous les coup… en plus la veille j’avais du subir une extraction sanguine veineuse pour analyse, qui est en fait l’inverse de ce qu’était en train de subir mon amoureuse (une translucide injection intramusculaire). Après elle avoua, les heure et les jours qui on suivi, qu’elle avais mal au bras… logique quand même… C’était le rappel du vaccin anti-tétanos et ce qui va avec… [Elle a trouvé ! Elle ….. a bah non, bah non, pas encore, désolé…] [Ah bah si, en fait il ne falait faire aucun calcule mais seulement des explication, elle se cassait donc la tet pour rien depuis tout à l’heure… Encore une fois je suis jaloux qu’elle trouve, qu’elle sache, et qu’elle soit plus intelligente que moi]. Après le rendez vous chez le médecin, nous sommes allé chez son père pour passer la semaine. Je savais la deuxième semaine de mes vacances chargée car j’avais plusieurs reservation d’avions qui m’entravait la route vers l’amour de mon amoureuse. Malgrès mon envie certaine de piloter, j’en exquiva certaine, je savais que la météo n’était pas favorable et j’apella l’instructeur pour déreserver d’avance.. De toutes manière la météo n’aurai pas permi d’éxecuter le moindre petit vol ; le seul vol de la semaine fu un petit vol de deroutement non lointain entre deux eclaircies… (heureusement qu’aucun Cumulonimbus n’a fait son apparition au retour de notre vol…). C’est donc une fois arrivé chez le père de Julie. Je laisse la suite de ces écrits pour mon amoureuse :
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